Les travaux réalisés par la Division technique et la Division maintenance, tels que l’isolation des toitures, le remplacement des menuiseries extérieures, l’installation d’éclairage LED et de panneaux photovoltaïques, ainsi que la bonne programmation des régulations de chauffage et le remplacement des chaufferies et régulations vétustes, ont permis d’importantes améliorations de la consommation entre 2022 et 2023.
Pour l’électricité, il y a eu une augmentation de la consommation de 5 %, soit 200 000 kWh, entraînant le rejet de 40 tonnes de CO2 dans l’atmosphère et un surcoût de 60 000 euros. Cependant, la consommation a diminué de 31 % par rapport à 2006.
Pour le chauffage, la consommation a diminué de 13 %, soit 2 100 000 kWh, permettant d’économiser 240 000 euros et d’éviter le rejet de 800 tonnes de CO2 dans l’atmosphère, ce qui représente une économie de 45 % par rapport à 2006.
Pour l’ensemble des postes énergétiques d’électricité et de chauffage, la quantité de CO2 émise en 2006 était de 6 898 124 kg. En 2023, elle est de 3 346 369 kg, soit une diminution de 49 %.
Pour l’éclairage public, entre 2022 et 2023, il a été possible d’économiser 2 000 000 kWh, évitant ainsi le rejet de 428 tonnes de CO2 dans l’atmosphère. Cependant, en raison de l’augmentation du coût de l’électricité, il y a eu un surcoût de 37 400 euros.
Afin d’atteindre les objectifs de la convention des maires, à savoir une réduction de 55 % des émissions de GES d’ici 2030 (gaz à effet de serre), il est nécessaire de réduire les émissions de 6 % en six ans. Cela se traduit par une diminution approximative de 1 570 000 kWh d’électricité et de 2 400 000 kWh de chauffage.